Echos du Fouta
Internautes-visiteurs, cette page se fait l'écho des différentes contributions que nous avons reçues.
Nous attendons la vôtre !
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Le 20 Mars 2006
Nadine Bari : la maison de feu Philippe Hemery à Dalaba
A LOUER AU CŒUR DU FOUTA-DJALON
AU MOIS, A LA SEMAINE OU A L'ANNEE
Sur un domaine de deux ha,
Un ensemble d'habitations de caractère, construites par un Français amoureux de la Guinée et décédé prématurément, comprenant :
- une maison principale, couverte de chaume, un salon-salle-à-manger avec fenêtres petits carreaux donnant sur jardin et jolie vue, et une cheminée, plus une mezzanine (pour couchage au sol) un bureau, une chambre avec salle d'eau rudimentaire, une bibliothèque, une cuisine le tout meublé en rustique et comportant la vaisselle nécessaire;
- deux terrasses, avec pergola, pour repas à l'extérieur (tables en pierre)
- une chambre d'amis à part, comportant une salle d'eau rudimentaire et une cheminée;
- une casette pour petite chambre sans salle d'eau
- deux cases pour le gardien et sa famille à l'entrée du domaine
- un atelier bien garni d'outils, abritant l'installation solaire et les batteries (onduleur à changer)
- un abri-garage pour la voiture et la charrette
- cinq panneaux solaires
- quatre puits et un petit château d'eau avec pompe électronique immergée;
- une écurie pour les deux ânes gris (Badiar et Youkounkoun)
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Loyer : 200 euros (mois)
30 euros (semaine)
1 000 euros (année)
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Le 05 Juin 2006
Nadine Bari : la maison de feu Philippe Hemery à Dalaba
Cette maison n'est plus à louer. Elle a trouvé un amateur pour les années à venir.
Si vous étiez intéressé, il vous faudra donc patienter
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Le 08 Juin 2006
Photos envoyées par Xavier, ancien résident en Guinée, qui a séjourné à Dalaba
La terrasse de l'hôtel du Fouta à Dalaba
Coucher de soleil à Dalaba |
Chemin vers la chute |
La chute de Ditinn |
La chute dans toute sa haut. (env. 100m) |
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Juillet 2008
Diouma Barry, pépiniériste et guide touristique à Sébhory, a séjourné quelques semaines en France pour se perfectionner en apiculture. Il repart avec des connaissances et du matériel pour développer sa production de miel et autres produits de l'apiculture.
Une corde de plus à son arc, lui qui a déjà de bonnes connaissances en matière de plantes (il a créé la première pépinière arbres, arbustes et fleurs à Sébhory), de plantes médicinales (il participe à la réalisation d'un conservatoire des plantes à Sébhory). Il est par ailleurs l'un des co-fondateurs de l'office de tourisme de Dalaba et connaît très bien tous les circuits dans les environs de Dalaba et Pita.
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Photos envoyées par Line en Mai 2007 suite à son séjour au Fouta, qu'elle a découvert grace à Indigo, association basée à Conakry qui organise des séjours sur place.
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Photos envoyées par Erwan suite à son séjour au Fouta à la saison des pluies 2008 :
Les chutes de Kambadaga | Case traditionnelle peule | Le mont Maci |
Diouma sur un pont de lianes à Kambadaga
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Suite à des échanges d'infos par internet, Gérard Colin accompagné de 8 autres personnes a séjourné en Novembre 2008 au Fouta Djalon. Il m'a fait parvenir de superbes photos dont celles qui suivent :
Impressions d'un voyage en Février 2013 par Foutadécouverte
Et là au beau milieu de la brousse, enfin un bruit sourd mais doux à nos oreilles !
Nous marchons depuis plusieurs heures sous un soleil de plomb. Peu d'ombre sur
la piste. La chaleur est d'autant plus intense quand nous traversons un
"bowal". Peu ou pas de bruit, la brousse est très silencieuse au beau
milieu de la journée, accablée par la chaleur supérieure à 35°. Seuls quelques
vautours apparaissent de temps en temps dans le ciel !?!
Nous sommes parvenus au dessus d'une vallée qui s'étend quelques dizaines de
mètres sous nos pieds.
Nous devinons sur notre gauche le haut d'une cascade, largement dissimulée par
une végétation très dense, qui tranche avec la zone quelque peu ensoleillée que
nous venons de traverser.
Reste à voir comment descendre pour atteindre la rivière ! Nous trouvons un
petit sentier, très petit, qui semble pouvoir nous mener en bas. Mais bien vite
nous découvrons que la végétation a repris ses droits et englouti le chemin.
Heureusement équipé d'un .... sécateur nous nous ouvrons un passage et
descendons quasiment en ligne droite vers la forêt galerie qui dissimule la
cascade. Après une descente quasi verticale, nous nous retrouvons au bord de
l'eau : enfin un peu de fraîcheur ! Pour continuer, nous devons traverser la
rivière : l'eau est vraiment très fraîche.
Quelques mètres plus loin, ouahou !!! Nous sommes au pied de la chute de Lahbi qui
dégringole sur une trentaine de mètres avec à son pied un bassin d'eau claire
et une petite plage de galets. Tout autour de magnifiques arbres parfois agrippés
à la falaise ! Juste récompense d'une journée de marche dans les profondeurs du
Fouta Djalon !
( le mot poular du jour : BOWAL qui signifie ?)